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Accueil du site > Santé, forme, beauté > BACHELOT/CHATEL : TOUCHE PAS A NOS ENFANTS !..

Santé, forme, beauté

BACHELOT/CHATEL : TOUCHE PAS A NOS ENFANTS !..

vendredi 15 mai 2015

ATTENTION A NOS ENFANTS HANDICAPES MENTAUX !

AUJOURD’HUI ILS SE PROPOSENT DE LES SOIGNER DE FORCE SANS TENIR COMPTE DE L’AVIS : DU MALADE, DE SON MEDECIN, DE SA FAMILLE, DE SON RESPONSABLE LEGAL,

A QUAND LE RETOUR DES CAMPS ?

Voici l’article que nous avons lu pour vous sur :

http://www.romandie.com/ats/news/100505154600.g810e838.asp CITATION :

Psychiatrie : vers la création d’une obligation de soins en ville PARIS - Le gouvernement projette de "moderniser" les soins imposés à certains malades mentaux, jusque là limités à la seule hospitalisation, en instituant des soins "sans consentement" en ville, auxquels pourront participer les psychiatres libéraux. Une réforme attendue, qui avait été souhaitée par le Président de la République en 2008, après la mort, à Grenoble, d’un étudiant poignardé par un malade échappé de l’hôpital. Le projet de loi, présenté mercredi en conseil des ministres, sera débattu au Parlement à l’automne. Ce texte concerne 70.000 patients par an qui souffrent de troubles rendant impossible leur consentement aux soins et vise à leur offrir "une meilleure prise en charge", à "assurer leur sécurité et aussi celle des autres", a expliqué le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, au sortir du conseil. Il vise aussi à "garantir" le respect de leurs droits fondamentaux. "Les psychiatres des villes pourront délivrer des soins sans consentement, sous la responsabilité du médecin de l’hôpital qui suit le patient", a précisé Roselyne Bachelot, ministre de la Santé. Dans la grande majorité des cas, l’entrée dans les soins se fera en hospitalisation complète, avec "un premier temps d’observation et de soins, d’une durée maximale de 72h, comportant trois certificats médicaux". Passé ce temps, il sera possible de prendre en charge le patient "soit en hospitalisation partielle, soit en soins ambulatoires (hors de l’hôpital)", a-t-elle expliqué. "Un collège de soignants (deux psychiatres et un cadre infirmier) aura pour mission de fournir un avis écrit au préfet sur les sorties d’hôpital pour les patients en hospitalisation d’office ou hospitalisés en unité pour malades difficiles", a-t-elle précisé. La loi actuelle du 27 juin 1990 prévoit deux types d’hospitalisation sous contrainte si le patient présente un danger pour lui-même ou autrui : l’hospitalisation à la demande d’un tiers (famille, voisinage, collègue...) sur la base d’au moins un certificat médical et l’hospitalisation d’office prononcée par arrêté préfectoral. Mais les psychiatres et leurs syndicats sont partagés. Nombre dans la profession réclament aussi une véritable politique de santé mentale et les moyens de la mettre en oeuvre. "Il y a des avancées", commente le Dr Norbert Skurnik, de l’Intersyndicale de défense de la psychiatrie publique (Idepp) et psychiatre de secteur. Cependant, entre autres critiques, il réclame un recours "systématique" à la justice, conformément à la jurisprudence européenne sur la privation de liberté, en cas de désaccord entre le psychiatre et le préfet sur la poursuite ou non d’une hospitalisation ou de soins ambulatoires sous contrainte. "Le curseur se déplace d’une optique sanitaire vers une optique sécuritaire", a pour sa part récemment regretté Jean-Claude Pénochet, président du Syndicat des psychiatres des hôpitaux. "C’est quand même un texte sanitaire", concède le Dr Angelo poli, président du syndicat des psychiatres d’exercice publique. Il y relève des aspects positifs comme la simplification de l’admission, avec un seul certificat au lieu de deux. "Par contre, ce qui pose problème c’est la tâche de contrôleur de l’ordre public affectée aux soignants. On nous demande de garantir l’ordre public", déplore-t-il. Or "il n’y a pas de risque zéro", et les drames comme celui de Grenoble sont "exceptionnels", contrairement à ce que pourrait faire croire leur médiatisation à outrance, assure-t-il.

Fin de citation.

ALORS NOUS DISONS :

TOUCHE PAS A NOS ENFANTS

Cette mesure dangereuse proposée par la Ministre Roselyne BACHELOT pour nos enfants handicapés mentaux, soutenue par un autre : Luc CHATEL, est scandaleuse.

Ni l’une, ni l’autre, ne sont spécialistes de la maladie mentale.

Cliquer sur le lien pour lire cet autre aricle :

http://www.20minutes.fr/article/402723/France-Roselyne-Bachelot-affole-le-monde-de-la-psychiatrie.php

On commence par les malades mentaux, puis on continuera par les vieux, les trop grands, les roux, les trop p’tits, (Non, pas les trop p’tits).

Alors je dis : Touche pas à nos enfants.

Voir aussi les réactions sur lexpress.fr :

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/un-projet-de-loi-controverse-sur-la-psychiatrie_890161.html

Raymond de Cagny

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Raymond de Cagny