La Tribune des Valeurs

Poète Français

GUILLAUME APOLLINAIRE

Il est considéré comme grand poète français.

Cependant, il fut "le bâtard et le mal aimé. Il souffrit de n’être que "l’étranger".

Il est né à Rome le 26 Août 1880, enregistré par la sage-femme sous le nom de Wilhem Albert Dulcigny, de père quasiment inconnu…

Sa mère est Mademoiselle Angelika Alexandrine de Kostrowitz d’origine polonaise et de nationalité russe.

Un mois plus tard, sa mère le présente au baptême en la basilique Santa Maria Maggiore de Rome et lui donne le nom de Wilhelm Appolinaris Albert.

Le 2 Novembre enfin, cette mère demi-mondaine, à moitié folle, courtisane, égoïste, affabulatrice, impétueuse, instable, comparait devant notaire afin de reconnaitre son fils à qui elle donne enfin son nom, précédé d’une kyrielle de prénoms : Guillaume, Albert, Wladimir, Alexandre, Appolinaris de Kostrowitzk.

On lui prêta de nombreux pères avant de connaître son père biologique….

On avança le nom du Prince de Monaco, puis celui de Mgr Theuret en poste à Rome avant 1880, puis le nom du Curé de Monte Carlo.

En vérité, son père et celui de son frère Albert est Francesco Constentin Camillo Flugi d’Aspermont âgé de 44 ans, ex-officier et grand flambeur helvétique disparu sans reconnaître ses fils. Jusqu’à l’âge de 7 ans, Guillaume parla italien et polonais, balloté entre deux Palaces, Collège à Monaco, puis à Cannes, Lycée à Nice ; études payées par l’Evêque de Monaco.

Joueurs impénitents, l’amant en date – le Banquier Jules Weil et Angelica quittent la Côte d’Azur en 1899 pour d’autres Casinos : Aix les Bains, Lyon. Ils atterrissent à Spa en Belgique après s’être débarrassé des 2 garçons dans une pension de famille d’une petite ville voisine de Stavelot.

Bientôt les deux frères sans argent déménagent à la "cloche de bois" pour Paris…

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